Les formes de la fragilité en art #6. Marylène Negro et Suzanne Doppelt
Recherche
Collège des Bernardins le 09/01/2024 à 18:00

Une rencontre entre les mots et les images, Marylène Negro et Suzanne Doppelt
 
Projection et lecture
 
Suzanne Doppelt écrit et fait parfois des photographies. Dans la plupart de ses livres, publiés aux éditions P.O.L, de Totem à Et tout soudain en rien il s’agit de perception. Que voyons-nous ? À cette question banale les images spirites, Le pré est vénéneux, les anamorphoses, Lazy suzie, le tableau de Jacopo di Barbari, La plus grande aberration, le théâtre saturé de signes d’Amusements de mécanique, la boîte d’optique de Vak spectra ou la bulle de savon de Rien à cette magie tentent une réponse. Meta donna s’intéresse à la tarentule des Pouilles dans les années 60 et le dernier livre au film Blow up d’Antonioni. Elle a exposé notamment au Centre Pompidou, à l’Institut français de Naples, à la galerie Martine Aboucaya, au musée du Louvre, à NYU, aux Ateliers des Arques, au Centre international de poésie de Marseille.

 


Lire la suite
Les formes de la fragilité en art #7. La Belle brute et Jean-Marie Massou
Recherche
Collège des Bernardins le 12/03/2024 à 18:00

Pour cette septième séance du séminaire Les formes de la fragilité en art, nous aurons le plaisir d'accueillir La Belle Brute, un collectif d'édition musicale alternative qui a notamment pris en charge la diffusion des productions sonores de Jean-Marie Massou.

La séance sera organisée autour d'une écoute collective de plusieurs enregistrements réalisés par Jean-Marie Massou et sera suivie d'un échange avec les membres de La Belle brute autour de son oeuvre sonore et plastique.

 


Lire la suite
Les formes de la fragilité en art #8. Rudolf Di Stefano et Sol Suffern-Quirno
Recherche
Collège des Bernardins le 02/04/2024 à 18:00

Voir le monde à deux

Sol Suffern-Quirno et Rudolf di Stefano inventent à chaque projet une méthode ad hoc qui leur permet de penser la fabrication du film, façon de faire qui s’écarte des grandes voies tracées par la production institutionnelle et commerciale.

Cette séance s'organisera autour de films qui montrent comment, par des images et des sons, se constitue la possibilité d’un film, comment dans l’atelier se forme l’idée d’une œuvre de cinéma. Dans un double mouvement, les films de Sol Suffern-Quirno et Rudolf di Stefano tentent d’annoncer ce qui est à venir, tout en cherchant à faire valoir ce qui dans le passé et le présent existe comme possibles et comme promesses, comme traces parfois infimes qui pointent vers le futur.


Lire la suite